lundi 14 septembre 2009

En quelques mots...

A la demande d'une amie, voici quelques mots pour mieux me connaître
et une photo de ce bel endroit qu'était Les Grosses Pierres...



Mon rêve d'enfance : paix, justice, solidarité.

Protéger notre patrie à tous : notre planète, l'immense diversité de la vie qu'elle contient.

Fin 99 j'étais fortement déstabilisé, dégoûté peut-être de la société dans laquelle nous vivons. Je possède une belle propriété d'un peu plus de cinq hectares parfaitement entretenue, entourée d'anuimaux, une pléiade d'oiseaux libres dans la nature, habitués à nicher dans la propriété. En hiver, je leur fournis de la nourriture et j'en suis grandement récompensé par leurs chants.

J'ai rencontré les bouddhistes de Vajradhara Ling par hasard. Ils sont implantés dans la région. Je voulais faire de ma propriété un site protégé, un jardin de paix pour la planète. Je ne connaissais pas le Bouddhisme, et aujourd'hui encore il reste très éloigné de moi. Il ne m'intéresse pas plus que les autres religions : je suis agnostique. La presse, les politiques parlent d'eux comme des personnes pacifiques, détachées des biens de ce monde.

L'idée m'est venue qu'ils pourraient poursuivre mon rêve d'un monde plus juste. Je les ai rencontrés et leur ai proposé de devenir les gardiens de mon utopie. Un projet devait être élaboré pour cela. Ils m'ont dit que leur notaire pourrait préparer ledit projet. Une grossière erreur !

Les bouddhistes sont des hommes semblables aux autres. Le veau d'or est le seul dieu que l'on aime en toute première priorité. Ils m'ont dépouillé de tous mes biens. A l'époque, ils ont dû croire que j'étais gravement malade, que mes jours étaient comptés. Ils ont fait faire une donation par leur notaire de tous mes biens, testament compris. J'ai appris cela trois ans plus tard.

J'ai réagi tout de suite mais des magistrats malhonnêtes avec des avocats amis dans la région, un corporatisme solide dans la campagne où ceux que l'on appelle "les notables" se serrent les coudes, m'ont empêché d'aller devant la justice.

Ce qui a été fait n'a aucune valeur juridique. Ils le savent. La justice le sait. Des conditions de signature bizarres, seul sans aucune personne qui me connaisse, ni avocat ou notaire pour m'assister, aucune copie des documents signés ce jour-là ne m'a jamais été remise, aucune correspondance qui puisse montrer que j'étais au courant de cette escroquerie ignoble.

Qui bloque la justice ?
Est-elle indépendante ?
Est-il possible que la balance soit déréglée ?
La justice a-t-elle des amis qu'il ne faut pas toucher ?

Je ne peux pas croire cela. Mais comment est-il possible que le silence le plus total continue sur mon affaire ? J'ai alerté les plus hautes autorités de l'Etat. Toutes les personnes concernées sont au courant de toutes mes démarches.

Et toujours rien...

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