samedi 16 octobre 2010

lundi 14 septembre 2009

En quelques mots...

A la demande d'une amie, voici quelques mots pour mieux me connaître
et une photo de ce bel endroit qu'était Les Grosses Pierres...



Mon rêve d'enfance : paix, justice, solidarité.

Protéger notre patrie à tous : notre planète, l'immense diversité de la vie qu'elle contient.

Fin 99 j'étais fortement déstabilisé, dégoûté peut-être de la société dans laquelle nous vivons. Je possède une belle propriété d'un peu plus de cinq hectares parfaitement entretenue, entourée d'anuimaux, une pléiade d'oiseaux libres dans la nature, habitués à nicher dans la propriété. En hiver, je leur fournis de la nourriture et j'en suis grandement récompensé par leurs chants.

J'ai rencontré les bouddhistes de Vajradhara Ling par hasard. Ils sont implantés dans la région. Je voulais faire de ma propriété un site protégé, un jardin de paix pour la planète. Je ne connaissais pas le Bouddhisme, et aujourd'hui encore il reste très éloigné de moi. Il ne m'intéresse pas plus que les autres religions : je suis agnostique. La presse, les politiques parlent d'eux comme des personnes pacifiques, détachées des biens de ce monde.

L'idée m'est venue qu'ils pourraient poursuivre mon rêve d'un monde plus juste. Je les ai rencontrés et leur ai proposé de devenir les gardiens de mon utopie. Un projet devait être élaboré pour cela. Ils m'ont dit que leur notaire pourrait préparer ledit projet. Une grossière erreur !

Les bouddhistes sont des hommes semblables aux autres. Le veau d'or est le seul dieu que l'on aime en toute première priorité. Ils m'ont dépouillé de tous mes biens. A l'époque, ils ont dû croire que j'étais gravement malade, que mes jours étaient comptés. Ils ont fait faire une donation par leur notaire de tous mes biens, testament compris. J'ai appris cela trois ans plus tard.

J'ai réagi tout de suite mais des magistrats malhonnêtes avec des avocats amis dans la région, un corporatisme solide dans la campagne où ceux que l'on appelle "les notables" se serrent les coudes, m'ont empêché d'aller devant la justice.

Ce qui a été fait n'a aucune valeur juridique. Ils le savent. La justice le sait. Des conditions de signature bizarres, seul sans aucune personne qui me connaisse, ni avocat ou notaire pour m'assister, aucune copie des documents signés ce jour-là ne m'a jamais été remise, aucune correspondance qui puisse montrer que j'étais au courant de cette escroquerie ignoble.

Qui bloque la justice ?
Est-elle indépendante ?
Est-il possible que la balance soit déréglée ?
La justice a-t-elle des amis qu'il ne faut pas toucher ?

Je ne peux pas croire cela. Mais comment est-il possible que le silence le plus total continue sur mon affaire ? J'ai alerté les plus hautes autorités de l'Etat. Toutes les personnes concernées sont au courant de toutes mes démarches.

Et toujours rien...

mercredi 26 août 2009

Lettre au Président de la République

Le 8 juillet dernier, j'écrivais en dernier recours au Président de la République, Nicolas Sarkozy. Je sais que le pouvoir politique et le pouvoir judiciaires sont séparés en France mais je pense que le Président peut demander au Ministre de la Justice de regarder cette affaire de plus près, affaire pour le moins curieuse...


Monsieur le Président,

Je m'adresse à vous en dernier recours. J'ai fait toutes les démarches possibles, je me suis adressé aux plus hautes autorités de l'Etat par lettres accompagnées des différents documents : Ministre de la Justice, Assemblée Nationale, Sénat, Chambre Constitutionnelle, différents partis politiques et médias.

Les seuls qui ont répondu et m'ont fait croire que la démocratie et le droit n'ont pas disparu en France sont Madame le Ministre de la Justice Rachida Dati et Monsieur le Président du Sénat.

Ci-joint les documents et correspondances que j'ai envoyés et les réponses du Ministère de la Justice et du Sénat.

A l'heure actuelle, toujours le silence assourdissant, chose banale dans les dictatures et républiques bananières mais cela ne peut pas se produire en France, République qui se réclame haut et fort des Droits de l'Homme.

Vous, Monsieur le Président, premier serviteur de la Nation et la plus haute autorité, je vous informe de ces dysfonctionnements de la Justice : il m'est impossible de croire que d'obscures fonctionnaires puissent neutraliser la Justice.

Mon affaire est simple. j'ai été victime d'un cambriolage, la Justice peut le constater dans une seule séance. Dix années se sont passées et jamais je n'ai reçu aucune correspondance d'aucune sorte. Silence total.

Dans les dictatures, pour supprimer la parole, les accidents ou suicides sont banals. je ne me suiciderai jamais, il y a bien sûr d'autres méthodes. je demande justice et suis prêt à tout pour l'obtenir.

Monsieur le Président, il est de votre pouvoir de mettre de l'ordre dans cette affaire qui fait honte à la République.

je vous prie de croire, Monsieur le Président, en mon profond respect pour votre fonction et pour la République.

Aurelio Ibanez Gonzalez


Le 31 juillet 2009, je recevais l'accusé de réception suivant mais toujours pas de nouvelles du côté de la Justice et de son nouveau ministre :



Lettre au Dalaï Lama

Je garde malgré tout un certain respect pour le Bouddhisme. J'en appelais donc en juillet 2008 à Sa Sainteté le Dalaï Lama en personne, par lettre recommandée avec accusé de réception. Il devait d'ailleurs venir visiter la congrégation Dachang Vajradhara Ling cette même année et lui apporter sa caution...

Mais Sa Sainteté semble avoir d'autres chats à fouetter : pas de réponse !